Clip - Jamais sans la nuit
Clip - Bleu
Clip - L'amour n'est-il
Paroles
Nos territoires
Nos territoires
Conquis, puis, désertés
Par des patries d’un soir
Aux hymnes secrets
Nos territoires
Aux espaces insondés
Aux frontières rares
Aux passions exaltées
Exaltées
Poussière, nous sommes
Poussière, nous sommes
Nos territoires
Bannis, auréolés
Au milieu, naturels
Aux périmètres surfaits
Nos territoires
Insoumis, tant rêvés
Aux vallées vertes enfouies
Aux cieux noirs étoilés
Étoilés
Poussière, nous sommes
Poussière, nous sommes
Bleu
Cocktail
Cocktail
Dans salon bleu
Cocktail
Cocktail
Mon âme en deux
Cocktail
Flâneuse
Tunnel veineux
Cocktail
Nageuse
Dans lagon bleu
J’aimais cet amour shaker
J’aimais cet amour shaker
Quand il agitait mon cœur
Quand il agitait mon cœur
J’aimais cet amour shaker
J’aimais cet amour shaker
Quand il agitait mon cœur
Quand il agitait
Cocktail
Cocktail
Dans salon bleu
Cocktail
Cocktail
La nuit en mieux
Cocktail
Je tente
Miraculeux
Cocktail
Serpente
Son venin bleu
J’aimais cet amour shaker
J’aimais cet amour shaker
Quand il agitait mon cœur
Quand il agitait mon cœur
J’aimais cet amour shaker
J’aimais cet amour shaker
Quand il agitait mon cœur
Avec ou sans douceur
Jamais sans la Nuit
Jamais sans la Nuit
Je ne sors jamais sans la Nuit
Des lundis aux lundis
Je répète mes soirs à l’infini
Au péril de mes envies
J’emprunte les pistes les plus noircies
Au péril de mes envies
J’en reviens tout éblouie
Jamais sans la Nuit
Je ne sors jamais sans la Nuit
Ce miroir, ce pays
Je traverse à l’envers, à l’envi
Que me grise la Nuit
C’est là mon nocturne alibi
Depuis le jour, depuis
Que l’Outrenoir m’a saisie
J’oublie, j’oublie
Le jour qui suit
Le jour qui suit
Le jour qui suit
Jamais sans la Nuit
Jamais sans la Nuit
Jamais sans la Nuit
Je ne sors jamais sans la Nuit
Tout recommence à minuit
Je répète mes soirs à l’infini
Au péril de mes envies
J’emprunte les pistes les plus noircies
Au péril de mes envies
J’en reviens tout éblouie
Toute une nation
Mon désir
Mon désir est un peuple sans nom
Mon désir
Mon désir, une foule de fictions
Toute une nation
Toute une nation
En secret
En secret, j’abrite mes dissidents
En secret
En secret, je revois les choses en grand
Toute une nation
Toute une nation
Or, la loi
Or, la loi censure l’émotion
Or, la loi
Or, la loi censure ma passion
Toute une nation
Toute une nation
Toute une nation
Toute une nation
Léviathan
Plastique
Sentiments
Devenus, coeur
Continent
Factices
Emotions
Polluent, âme
Océan
Humaine et tendre
Humaine et tendre
Sensible au vivant
Sensible au vivant
Humaine, tendre
Humaine, tendre
J’étais de chair, avant
Factice
Continent
Faux rivages
Faux semblants
Plastiques
En suspens
Technique
Dans le sang
Humaine et tendre
Humaine et tendre
Sensible au vivant
Sensible au vivant
Humaine, tendre
Humaine, tendre
J’étais de chair, avant
L’ultramoderne
Nous dévore vivants
Les lumières de la ville
Oh ! Les lumières de la ville
Oh ! Les lumières de la ville
Galaxie sans étoile
Nébuleuse insondable
Oh ! Les lumières de la ville
Oh ! Les lumières
Me hantent
Les lumières
Me hantent
Ainsi que les fantômes
D’amours éteints
Ainsi que l’illusion
L’incertain
Poésie électrique
Aux césures frénétiques
Mes yeux dansent
Sur ce toit
Astral royaume
Sans roi
Oh ! Les lumières
Mes yeux dansent
Tant qu’il y aura des hommes
Rêves de jardins suspendus
Des sphinx à perte de vue
Peuple homérique Amazones
Tant qu’il…
Tant qu’il y aura des hommes
La beauté artificielle
Oiseau de fer dans le ciel
Féerie et décorum
Tant qu’il…
Tant qu’il y aura des hommes
L’amour et la fantaisie
Le luxe de la comédie
Un poème sur l’automne
Tant qu’il…
Tant qu’il y aura des hommes
Que la Terre sera merveilles
Tant que la pluie, le Soleil
Tant que des étoiles, un ciel…
L’infinité des possibles
Statue d’un Christ des abîmes
La bravoure d’une Antigone
Tant qu’il…
Tant qu’il y aura des hommes
Toutes les joies indicibles
La richesse d’un sourire
Requiem, barcarolle…
Tant qu’il…
Tant qu’il y aura des hommes
Que la Terre sera merveilles
Tant que la pluie, le Soleil
Tant que des étoiles, un ciel…
De verre
Tout en moi est de verre
Tout, sentiments contraires
Sable, soude et calcaire
Au contact de l’air
Colère, colère
Brûle ma peau, dragonne mes nerfs
Cette colère, colère
Ne me laisse nul répit sur terre
Je suis foule d’insolence
Multitude d’inconstances
Vivant jusqu’à l’ivresse
Avec violente noblesse
Tout en moi est de verre
Cathédrale de mystères
Transpercé de lumière
Couronné de chimères
Colère, cette colère
Brûle ma peau, retend mes nerfs
Je suis riche de nuits blanches
De trésors d’impatience
D’amours imaginaires
De vérités amères
Je suis foule d’insolence
Multitude d’inconstances
Vivant jusqu’à l’ivresse
Avec violente noblesse
Tout en moi est de verre
L’amour n’est-il qu’un nom commun ?
Question de peau
Question de mots
Je n’ai toujours pas de réponse
Question de sens
Question d’émoi
Je n’ai toujours pas, toujours pas…
L’amour n’est-il qu’un nom commun
Qu’un nom, comme un, comme un autre ?!
Question de sexe
D’élans, de gestes
Je n’ai toujours pas de réponse
Question d’humeur
Question majeure
Je ne sais toujours pas pour l’heure…
L’amour n’est-il qu’un nom commun
Qu’un nom, comme un, comme un autre ?!
Tout m’interroge
Sans voix, me laisse
Cent fois, hélas, sans réponse
Question de peau
Question de mots
Je n’ai toujours pas, mais j’y pense…
L’amour n’est-il qu’un nom commun
Qu’un nom, comme un, comme un autre ?!
Sylvia
Je tue l’ennui
Mortel, dans des allées
Bordées de dahlias
Flanquées de cyprès
Depuis longtemps
Je ne fais que marcher
Depuis, qu’on dit
Que j’ai perdu pied
Je fuis l’ennui
Des jours, comme une damnée
Automne, hiver
Enfer d’été
Ici, je pense
A comment tu me promenais
Me promenais…
J’ai été folle de t’aimer
J’ai été folle de t’aimer
Moins sage que toi
J’ai été folle de t’aimer
J’ai été folle de t’aimer
Moins sage que toi
Je tue le temps
Ce monstre, dans des allées
Au milieu, de cris d’orfraie
Et d’azalées
Depuis longtemps
Je ne fais que marcher
Depuis, qu’on dit
Que j’ai perdu pied
Ici, je pense
A comment tu me promenais
Me promenais…
J’ai été folle de t’aimer
J’ai été folle de t’aimer
Moins sage que toi
J’ai été folle de t’aimer
J’ai été folle de t’aimer
Moins sage que toi
Icône
Icône
Sourit pour la photo
À l’arrière d’une auto
Seule, sans quiproquo
Icône
Se mire dans le rétro
Sourit aux angelots
À leurs mères et aux badauds
Sur L.A. boulevards, avenues
Je hais, celle que je suis devenue…
Icône
Idole des plateaux
De télé, de studio
Rompue à tous les shows
Icône
Se rêve, incognito
Au volant d’une auto
Fuyant , seule, avec brio
Sur L.A. boulevards, avenues
Je hais, celle que je suis devenue…
Devenue