Clip - Oslo
Paroles
L’amour n’est-il qu’un nom commun ?
Question de peau
Question de mots
Je n’ai toujours pas de réponse
Question de sens
Question d’émoi
Je n’ai toujours pas, toujours pas…
L’amour n’est-il qu’un nom commun
Qu’un nom, comme un, comme un autre ?!
Question de sexe
D’élans, de gestes
Je n’ai toujours pas de réponse
Question d’humeur
Question majeure
Je ne sais toujours pas pour l’heure…
L’amour n’est-il qu’un nom commun
Qu’un nom, comme un, comme un autre ?!
Tout m’interroge
Sans voix, me laisse
Cent fois, hélas, sans réponse
Question de peau
Question de mots
Je n’ai toujours pas, mais j’y pense…
L’amour n’est-il qu’un nom commun
Qu’un nom, comme un, comme un autre ?!
Oslo
Oslo
Y’a l’feu même à l’eau
Ici, je brûle de désirs, pas comme il faut
Assez fou pour porter, seul, le flambeau
Oslo
Y’a l’feu même à l’eau
Babylone, j’ai perdu mon cœur, d’artichaut
Calciné, mes veines, au chalumeau
Tel un homme de paille, je marche, épouvanté
Dans les rues embrasées, en quête de rosée
Tel un homme de paille, je marche, sans m’arrêter
Laissant le feu ardent, le feu ardent, ardemment
M’incendier
Tokyo
Y’a l’feu tout là-haut
Les buildings en flammes se tordent, ça bout sous les peaux
En point de mire, l’Enfer, moi, j’vise plus haut
Tel un homme de paille, je marche, épouvanté
Dans les rues embrasées, en quête de rosée
Tel un homme de paille, je marche, sans m’arrêter
Laissant le feu ardent, le feu ardent, ardemment
M’incendier
Oslo
Le feu même à l’eau
J’ai brûlé de désirs, pas comme il faut
Calciné, mes veines, au chalumeau
Oslo
Oslo
Oslo…
Sylvia
Je tue l’ennui
Mortel, dans des allées
Bordées de dahlias
Flanquées de cyprès
Depuis longtemps
Je ne fais que marcher
Depuis, qu’on dit
Que j’ai perdu pied
Je fuis l’ennui
Des jours, comme une damnée
Automne, hiver
Enfer d’été
Ici, je pense
A comment tu me promenais
Me promenais…
J’ai été folle de t’aimer
J’ai été folle de t’aimer
Moins sage que toi
J’ai été folle de t’aimer
J’ai été folle de t’aimer
Moins sage que toi
Je tue le temps
Ce monstre, dans des allées
Au milieu, de cris d’orfraie
Et d’azalées
Depuis longtemps
Je ne fais que marcher
Depuis, qu’on dit
Que j’ai perdu pied
Ici, je pense
A comment tu me promenais
Me promenais…
J’ai été folle de t’aimer
J’ai été folle de t’aimer
Moins sage que toi
J’ai été folle de t’aimer
J’ai été folle de t’aimer
Moins sage que toi
Mon Amie
Mon amie
C’est le jour
Dans mon cœur
Est tombée la nuit
Au dehors
La fête joue
Mais mon cœur,
Mais mon cœur est sourd
Les néons
Sont blafards
Et les rues
Livides, si pâles
C’est ici
Mon amie
Que je suis
Tout comme en survie
Ce que la ville dénature
Ce qui est cher, cher à ma nature
Ce que la ville dénature
Ce qui est cher, cher à ma nature
Mon amie
C’est le jour
Dans mon cœur
Est tombée la nuit
Les oiseaux
Sans retour
La fureur
Et le bruit ont fui
A défaut
D’un azur
L’horizon
S’est couvert de gris
C’est ici
Mon amie
Que je suis
Tout comme en survie
Ce que la ville dénature
Ce qui est cher, cher à ma nature
Ce que la ville dénature
Ce qui est cher, cher à ma nature
Blondino
Mus ut velit aenean dis lectus ultricies eros, purus vel magna tortor, parturient risus porta risus, habitasse eu placerat sociis! Integer tortor urna parturient mid adipiscing platea scelerisque mus nunc, rhoncus dis nunc lectus turpis sociis ut porttitor scelerisque amet ultrices pid placerat mid facilisis proin purus a, non, cursus ridiculus nisi diam augue porta? Penatibus. Magna etiam, placerat dignissim?